A paraître

Paru le:  31-10-2025

Editeur:  Les éditions Ovadia

Isbn:  978-2-36392-662-3

Ean:  9782363926623

Prix:  22 €

Caractéristiques: 
360 pages

Genre:  Littérature

Thème:  Romansdegenre

Thèmes associés: 

La Sultane Mahpéri Hatun

Voilà que réapparaissait l’étrange clarté qu’il avait entrevue au début de la nuit précédente! Il la reconnaissait, elle paraissait surgir du plus profond de ses souvenirs. Était-il proie à un mirage?

Née à Cannes, Gisèle Durero-Koseoglu entre en littérature avec le Grand Prix de Poésie du Président de la République. Professeur de Lettres, conférencière, auteur d’articles de presse, elle a écrit une dizaine de livres, dont La Trilogie d’Istanbul, Mes Istamboulines, Dynasties de Turquie médiévale et Lascaris le Sang de Byzance.

Après huit ans de captivité, Alaattin est proclamé sultan des Seldjoukides d’Anatolie et épouse la princesse Destina, qui devient la sultane Mahpéri. Mais le sultan part souvent à la guerre. Mahpéri entame alors une lutte implacable pour évincer les enfants de la deuxième épouse et imposer son fils comme héritier du trône. Son complice ? L’architecte Kopek, un ambitieux cynique qui rêve de la conquérir et d’usurper le pouvoir. Dès lors, le pacte avec le diable est signé…
Ce roman, premier tome de la saga Dynasties de Turquie médiévale, fait revivre de grandes figures du XIIIe siècle : le prestigieux sultan Alaattin, grand bâtisseur, amoureux de arts ; Mewlânâ, fondateur des Derviches Tourneurs ; et la sultane Mahpéri, si fameuse qu’on la cite dans les chroniques...

La forteresse
Sultanat Seldjoukide d’Asie Mineure
Sur la septième marche en montant vers les remparts brillait un léger creux dans lequel, chaque jour, Alaattin Keykubad posait le pied. Huit ans à y mouiller la pointe de sa botte, les matins d’hiver, à voir s’accentuer l’usure de la pierre, en été.
Prisonnier. Séquestré. Reclus. À ne plus connaître de la vie que ces murailles, sa cage, quelque part, près de Malatya. Son châtiment.
Comme chaque jour, le vent lui apportait les échos du « rebab ». Son esclave, Fleur de Grenade, cherchait à tromper son ennui.

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