CollectionsUne Quête de l'Islam perdu

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Paru le:  01-10-2021

Editeur:  Les éditions Ovadia

Isbn:  978-2-36392-407-0

Ean:  9782363924070

Prix:  20 €

Caractéristiques: 
96 pages

Genre:  Littérature générale

Thème:  Romansdegenre

Thèmes associés: 

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Une Quête de l'Islam perdu

Citez-moi un seul verset du Coran qui affirme que les fils doivent payer pour la faute des pères, les innocents pour le péché des coupables !

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"Né à Mostaganem en 1927, Jean-Pierre Millecam a consacré toute son œuvre, écrite durant plus d’un demi-siècle, à l’Algérie et au Maroc, dont il est l’un des témoins historique. Professeur, il publie son premier roman, en 1951, sous les auspices d’Albert Camus, Hector et le Monstre, chez Gallimard. Plusieurs de ses titres seront, par la suite, sélectionnés pour des prix (Fémina, Goncourt, Renaudot...). Certains critiques littéraires lui ont également prédit le Nobel.
«Tous les livres de Millecam racontent l’éternelle tragédie à laquelle l’homme est condamné : l’Histoire. »
Libération.

Pour l’auteur de cette Quête dialoguée, l’Islam est la réplique d’Allah à Ibrahim à l’instant où celui-ci, pour glorifier le Seigneur, brandit le poignard destiné à sacrifier son fils Ismaël: l’Islam est la consécration de la grâce–et non plus du poignard qui devait trancher la tête de la brebis humaine.
Dès l’époque des patriarches bibliques, bien avant l’Hégire, l’Islam contrecarre toutes les malédictions de la Nuit des Temps, y compris celles de la Bible (Ex. : « Et vous serez maudits de génération en génération jusqu’à consécration des siècles »).
Puis l’auteur se penche sur la Foi de Sidi Aïssa (Jésus de Nazareth, charpentier de son état et prophète absolu selon le Coran. Il dénonce les crimes des Croisés face à la générosité du musulman Kurde Salah Eddine, qui gracia tous les Chrétiens à Jérusalem tandis que le Roi de France massacrait tous les Musulmans de « Saint Jean d’Acre».

Pour l’auteur de cette Quête dialoguée, l’Islam est la réplique d’Allah à Ibrahim à l’instant où celui-ci, pour glorifier le Seigneur, brandit le poignard destiné à sacrifier son fils Ismaël: l’Islam est la consécration de la grâce – et non plus du poignard qui devait trancher la tête de la brebis humaine.
Dès l’époque des patriarches bibliques, bien avant l’Hégire, l’Islam contrecarre toutes les malédictions de la
Nuit des Temps, y compris celles de la Bible (Ex.: «Et vous serez maudits de génération en génération jusqu’à consécration des siècles»).