CollectionsJ'ai envie de vous direPetites histoires à dormir debout
0660LEO-HG-PHDD-1DC

Paru le:  10-05-2024

Editeur:  Les éditions Ovadia

Isbn:  978-2-36392-554-1

Ean:  9782363925541

Prix:  24 €

Caractéristiques: 
497 pages

Genre:  Histoire

Thème:  Histoire

Thèmes associés: 

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Petites histoires à dormir debout

D’après la démarche cyclique, les événements se reproduisent comme se répètent les cycles circadiens, les cycles des saisons ou des générations…

Hélios-Gracia-NB

Enseignant retraité de l’Éducation Nationale et auteur d’une dizaine d’ouvrages, il a notamment écrit Les buissons ardents édités, en 2014, par Les Presses littéraires et une Histoire du rugby à Plaisir publiée, en 2017, par le P.R.C.

Ces petites histoires jubilatoires rapportent des anecdotes pétries de traits d’esprit et d’ironie, des récits farcis de facéties, des piques, des répliques, des exquis mots, des pensées et des miscellanées qui prêtent à rire et à réfléchir. Elles sont constitutives de la grande Histoire dans la mesure où elles représentent les pièces de vies et d’esprits qui s’assemblent et se fondent dans les grands événements pour composer le puzzle factuel de l’histoire universelle. Ces Petites histoires à dormir debout qui foisonnent de mots d’esprit, de poésie, de fantaisie et à l’occasion de vilénie, témoignent, comme un miroir grossissant, de la condition humaine. Elles ont pour objet non seulement d’amuser, mais aussi d’instruire et de s’inscrire dans l’esprit des vers de René Char :
Hâte-toi de transmettre ta part de merveilleux de rébellion de bienfaisance.

Céline observait que « l’histoire ne repasse pas les plats » et Paul Valéry remarquait que « l’histoire est la science des choses qui ne se répètent pas. » De ce point de vue linéaire, les sciences humaines ont admis la subjectivité et la relativité de la connaissance historique, puisqu’elle est issue de l’interprétation des événements par des historiens. L’histoire, qui est « équivoque et inépuisable » selon Raymond Aron, «justifie tout ce que l’on veut» écrivit Paul Valéry. Georges Duhamel considérait que « l’historien est le romancier du passé. » Si ce n’est que les romanciers sont en quête des grandes causes pour éclai‐ rer les petits événements, alors que les historiens sont à la recherche des petites causes pour expliquer les grands événements.