CollectionsPour une éducation thérapeutiqueGuérir du Diabète de Type 2
0452LEO-MG-IES.1DC

Paru le:  30-03-2020

Editeur:  Les éditions Ovadia

Isbn:  978-2-36392-356-1

Ean:  9782363923561

Prix:  22 €

Caractéristiques: 
316 pages

Genre:  Médecine

Thème:  Medecine

Thèmes associés: 

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Inévitable Evolution Santé

Dans les comportements des malades des médecins et des caisses

L’absence de certitudes compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement.

Dr Maurice Gillard médecin et écologue de la première heure, il a effectué plusieurs séjours d’approfondissement d’études et de recherche sur les « Médecines Alternatives » au Japon, en Chine avec le Taoïsme, en Inde et en Amérique du Sud. Depuis 1975, il poursuit sa pratique de la médecine chinoise et des expériences sur le terrain de l’agriculture biologique et de la reforestation. Il a participé à la refondation des différents courants écologiques des années 80, totalisant plus de 10% aux Européennes. Il représente le combat associatif, « ni droite ni gauche », en essayant de rassembler avec d’autres les différents courants de l’Ecologie politique associative indépendante, et des énergies alternatives et médecines douces.

La première cause du dramatique endettement de l’État qui plombe l’économie, est, sans aucun doute, l’énormité du budget santé de la France. La crise économique, sociale et écologique n’en est que la manifestation extérieure. Une question aussi sensible que la santé, qu’il s’agisse de la maladie ou du médicament, ne peut être fondée que sur le seul profit. L’incitation par le paiement à l’acte, organise la poursuite et, on peut même le dire, la prolifération d’actes de maladie et de prescription de médicaments iatrogènes. La solution que l’auteur propose est un système de paiement de la qualité, fondée sur les résultats, plus que sur la multiplication d’actes, d’examens et de soins, souvent contradictoires et sans effets notables. C’est une véritable révolution des comportements médicaux, des stratégies économiques des laboratoires et, enfin, de la maîtrise de la demande des patients. Comment résoudre cette triple équation? C’est le sujet de cette « révolutionsanté », devant la nécessité de laquelle aucun pouvoir ne peut plus aujourd’hui reculer.

Cette réflexion que je porte sur la scène publique aurait pu être courte, ou beaucoup plus élaborée.
Comme pour tout principe, d'Archimède ou de Galilée, il s'agit de trouver le bon, pour que puisse en découler une infinité d'applications, qui toutes deviennent aussi justes qu'efficaces et réalistes.
Le principe en matière de santé est tout simplement (ils sont tous apparemment simples) de ne pas fonder son raisonnement, et les textes légaux et administratifs qui en découlent, sur son contraire: la maladie. «Primum non nocere» était la recommandation répétée des quatre ou cinq seuls bons maîtres d'enseignement auxquels je me suis attaché, sur une bonne cinquantaine de professeurs de faculté auxquels j'ai eu affaire durant mes études médicales et mon internat hospitalier.