CollectionsJ'ai envie de vous direAvant qu’il ne soit trop tard
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Paru le:  30-04-2025

Editeur:  Les éditions Ovadia

Isbn:  978-2-36392-633-3

Ean:  9782363926333

Prix:  24 €

Caractéristiques: 
356 pages

Genre:  Littérature

Thème:  Romansdegenre

Thèmes associés: 

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Des lettres… vers l’être

«L’Amour est plus fort que la mort… »

Bernard Cabanier-NB

Bernard Cabanier est né en 1954 en région parisienne d’un père Catalan et d’une mère Périgordine. Sa passion pour l’écriture est née d’une désobéissance, il avait seize ans. De cet encrier brisé, il nourrira sa plume tout au long de sa vie par ses diverses rencontres, littéraires ou musicales et ses fabuleux voyages, ici ou ailleurs. Son père dira de lui : « j’ai un fils lunaire et livresque. » Il avait tout dit en deux mots.

Après « Passeurs de l'être » et « Labyrinthe de l'être », ce troisième opus nous entraîne dans une symphonie de mts orchestrée de main de maître pour nous entraîner vers des chemins allégoriques que l’encre sympathique a transformé en points de suspension… L’auteur nous convie à lire entre les lignes et au-delà des signes, telle une invitation à écrire sur le livre blanc de nos existences. L’enchaînement des situations et la rédemption des personnages qui se croisent et s’entrecroisent à la recherche d’eux-mêmes sont magnifiées par la sophistication de la construction de l’intrigue et le récit des souffrances racontées dans un style âpre sous tension maximale. Roman ou fable initiatique, qui fait danser les mythes et la réalité, nous sommes emportés dans une impossible mise en récit, au gré des émotions de l’auteur, dans des réalités parallèles qui se chevauchent avec sens, à l’ombre du Poète et Musicien Federico Garcia Lorca et de son « Cante Jondo ». Cette « Mécanique Cabanique » illustre l’éternité de l’Amour et sa force sur la Mort et fait de l’auteur un formidable Conteur.Après « Passeurs de l'être » et « Labyrinthe de l'être », ce troisième opus nous entraîne dans une symphonie de mts orchestrée de main de maître pour nous entraîner vers des chemins allégoriques que l’encre sympathique a transformé en points de suspension… L’auteur nous convie à lire entre les lignes et au-delà des signes, telle une invitation à écrire sur le livre blanc de nos existences. L’enchaînement des situations et la rédemption des personnages qui se croisent et s’entrecroisent à la recherche d’eux-mêmes sont magnifiées par la sophistication de la construction de l’intrigue et le récit des souffrances racontées dans un style âpre sous tension maximale. Roman ou fable initiatique, qui fait danser les mythes et la réalité, nous sommes emportés dans une impossible mise en récit, au gré des émotions de l’auteur, dans des réalités parallèles qui se chevauchent avec sens, à l’ombre du Poète et Musicien Federico Garcia Lorca et de son « Cante Jondo ». Cette « Mécanique Cabanique » illustre l’éternité de l’Amour et sa force sur la Mort et fait de l’auteur un formidable Conteur.

Voilà bien une semaine, que la librairie «Des lettres... vers l’être» annonça la venue de Juliette Lagosse et de Maria Bellastrano, pour dédicacer leur premier livre: «Lady Vas». Dorine, Hector et Martin, sur leur trente et un, leur réservèrent un accueil des plus chaleureux. Elles descendirent ensemble du premier étage. Leurs mouvements gracieux captivèrent tous les regards. Chemin faisant, l’une vira à droite et l’autre à gauche. En d’autres termes, l’une choisit de passer par les romans classiques et l’autre par l’ésotérisme. Maria profitant d’un geste ample, abandonna «Schibboleth» entre Unamuno et Tirso de Molina. Quant à Juliette, profitant de cette mise en scène improvisée, déposa habilement et discrètement, le fameux «Mutus Liber» sur l’étagère des romans initiatiques. Le fragile et parfait équilibre demeurait. Elles en oublièrent aussitôt le rayon. Mais qu’importe! L’essentiel n’était-ce pas de donner à ces deux ouvrages une seconde vie? Elles se retrouvèrent, radieuses, au pied de la petite estrade. Elles en gravirent les trois marches... Les chuchotis, ici et là, s’évanouirent d’un seul coup. Le public, à présent, respirait d’une seule voix. Rossini les attendait au piano, en contrebas. Elles attendaient un signe. Longues secondes de silence. Gioacchino leur fit, enfin, un discret clin d’œil musical. Elles initièrent le magnifique duo entre Sémiramide et Arsace. Soprano et contre alto. Chant et contre-chant. Clé de sol et clé de fa. Sans soupir ni bémol. Voix cristallines. Regards complices. Regards profonds. Regards lumineux. Harmonie et mélodie.