Paru le: 20-07-2024
Editeur: Les éditions Ovadia
Isbn: 978-2-36392-565-7
Ean: 9782363925657
Prix: 22 €
Caractéristiques:
180 pages
Genre: Entreprise
Thème: Management
Thèmes associés:
De l’Entreprise à la fondation
Culture & innovation
Le projet est toujours dans mes archives et peut-être pourrons nous retrouver un jour le chemin interrompu ?
Gianfranco DIOGUARDI Ingénieur, entrepreneur et essayiste. Il est l’un des fondateurs de l’Ingénierie de gestion en Italie.
Yves RICHIERO Ingénieur génie civil de formation, Directeur Général des filiales Centre EST de Campenon-Bernard Constructions et Spie Batignolles puis Directeur général de Dioguardi France S.A et Fondateur actionnaire par la suite de ORD.
Gianfranco Dioguardi m’a suggéré de penser à la rédaction d’un petit livre « libretto » portant sur la Fondation en France, son activité, son développement, ses réflexions relatives aux nouvelles organisations entrepreneuriales, ainsi que sur ses futurs partenariats. J’ai beaucoup réfléchi au sujet, mais il me semble difficile d’écrire sur la Fondation sans faire un retour sur Dioguardi France, filiale Française du groupe dioguardi dans les années 1990, car c’est à cette période que j’ai rencontré Gianfranco Dioguardi, puis dirigé cette entreprise. La philosophie entrepreneuriale de Gianfranco Dioguardi était toute autre et à la lecture de ces différents écrits et publications dans son cercle de chercheurs j’ai compris que nous devions en France porter cette philosophie en l’injectant comme un liant entre les collaborateurs donnant à chacun l’envie d’innover à l’intérieur d’une organisation flexible et créatrice d’un nouveau modèle associant inventivité et rigueur de gestion.
D’aussi longtemps que je m’en souvienne, j’ai été un étudiant « tiraillé » : j’étais doué dans beaucoup de matière, mais brillant dans aucune.
J’aimais la littérature autant que la technologie, les langues comme les sciences formelles, la philosophie ainsi que le commerce, la rigueur des théorèmes et la poésie des mots… ce qui rendit mes choix très cornéliens. Et alors que j’étais élève ingénieur de travaux, je me confrontais à un questionnement permanent et à une incertitude embarrassante: le métier de constructeur suffirait-il à me combler? Probablement pas!